L'Université Bordeaux Montaigne participe au programme Erasmus depuis sa création. Chaque année, plusieurs centaines de mobilités d'études, de stage, d'enseignement et de formation sont ainsi organisées. Grâce à ces actions devenues pérennes, notre stratégie internationale a été consolidée et nous permet aujourd'hui d'attacher une dimension de qualité à l'ensemble de nos projets de formation et de recherche.A travers les actions organisées dans le cadre du Programme, Bordeaux Montaigne cherche à atteindre quatre objectifs majeurs :1)accroître la qualité et la lisibilité de ses enseignements et de sa recherche en Europe ;2)rester en phase avec les standards de qualité européens ;3)participer à la création d’un espace de travail collaboratif pour mieux valoriser ses spécificités universitaires ;4)construire des projets transnationaux convergents, fondés sur la cohérence scientifique, ainsi que sur la nécessité d'obtenir des résultats significatifs.D'une année à l'autre, plusieurs effets positifs sont observés : des cohortes multiculturelles qui contribuent à l'internationalisation de notre communauté étudiante, une offre de formation enrichie grâce aux cours dispensés en langue étrangère, des développements en ce qui concerne les pratiques d'enseignement (de nouveaux outils numériques, le renforcement des compétences transversales), des partenariats internationaux plus structurés, une augmentation des projets de formations transnationales (doubles diplômes, filières).En 2018/2019, grâce aux financements proposés par la Commission Européenne, l'Université Bordeaux Montaigne a organisé 310 mobilités. Nos principaux partenaires restent l'Angleterre, l'Italie, l'Espagne, la Belgique et l'Allemagne pour des questions sans doute liées à la proximité géographique et au partage culturel.Il semble utile de préciser ici que la montée en puissance des formations à caractère professionnalisant a déterminé une augmentation des mobilités de stage.Une augmentation du nombre des séjours de formation a été également observée. Ce phénomène est sans doute dû à la mise en place d'un système de reconnaissance pour ces mobilités.